Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir toujours persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le connaissance, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://alexiscvnzm.blogcudinti.com/34216758/l-empreinte-du-yeux