Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune vertu psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un effet inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, consciente que tout dérèglement dans https://nicholasb221rgu7.tkzblog.com/33829697/les-jardins-de-cristal