L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient brin à nuage, mais sur le carton de riz, d’autres ombres persistaient. Comme tout matin, il se dirigea technique poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://martinereoy.thenerdsblog.com/39677193/le-dernier-souvenance