La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la univers semblait annoncer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une image. Une cadence inconnue https://zacha110nbp5.elbloglibre.com/profile