Tokyo, 2052. Les néons projetaient une jour artificielle sur les rues silencieuses. Dans un milieu où la perception du futur était devenue une vision cartésienne maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était désormais possible d’altérer la pressentiment des secondes, https://johnathanikfwl.is-blog.com/40312129/le-destin-réécrit