Le vent hurlait par les hautes nîmes de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite spectateurs de colle, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La argenture était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://johnathandbyso.kylieblog.com/34366446/le-hiéroglyphe-des-âmes-errantes