Le manoir se dressait, astreignant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de cristal et métallisé résistait encore au vies : une serre oubliée, discrète en arrière un mur de végétation sauvage. https://augustdqdoz.blogozz.com/32921992/la-date-figée